Le deuxième week-end du mois de mars marque l’ouverture de la pêche en eaux de première catégorie… et par extension de la pêche à la truite.
Une pêche prisée par de nombreux pêcheurs, amateurs comme passionnés, qui doivent redoubler de discrétion, de dextérité et de patience pour parvenir à capturer ce poisson d’eau douce carnivore de la famille des salmonidés, plus ou moins méfiant selon s’il a été élevé en milieu naturel ou en pisciculture. Chacun y va donc de sa technique et de ses petites astuces, parfois jalousement gardées, comme les appâts à utiliser pour leurrer la truite. Et si de nombreux pêcheurs se sont levés aux aurores ce samedi matin pour arpenter les rives de la Meurthe et ses différents affluents au lever du jour, c’est parce que ce jour d’ouverture est ancré dans la tradition de la pêche française.
J.J.
[caption id="attachment_135672" align="aligncenter" width="960"] (Crédits photographiques Marc Fourniquet)[/caption]
Le deuxième week-end du mois de mars marque l'ouverture de la pêche en eaux de première catégorie... et par extension de la pêche à la truite.
Une pêche prisée par de nombreux pêcheurs, amateurs comme passionnés, qui doivent redoubler de discrétion, de dextérité et de patience pour parvenir à capturer ce poisson d'eau douce carnivore de la famille des salmonidés, plus ou moins méfiant selon s'il a été élevé en milieu naturel ou en pisciculture. Chacun y va donc de sa technique et de ses petites astuces, parfois jalousement gardées, comme les appâts à utiliser pour leurrer la truite. Et si de nombreux pêcheurs se sont levés aux aurores ce samedi matin pour arpenter les rives de la Meurthe et ses différents affluents au lever du jour, c'est parce que ce jour d'ouverture est ancré dans la tradition de la pêche française.
J.J.
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