Les élèves des classes de Terminales ES et STMG du lycée Jules-Ferry prennent part au projet « start-up lycée », initié par la sous-préfète de l’arrondissement de Saint-Dié-des-Vsges Sylvie Siffermann.
Dans ce cadre, les lycéens se pencheront durant 2 jours, les 4 et 5 avril prochains, sur les besoins de Saint-Dié-des-Vosges dans 10 ans. Ils devront ainsi imaginer comment se loger, se transporter, se nourrir ou se divertir en 2029… en somme, ils devront imaginer comment simplifier la vie des Déodatiens de demain. Le tout à travers le prisme de la start-up, c’est à dire en faisant travailler ensemble autour d’un projet commun des personnes de profils divers.
Répartis par équipes hétérogènes de 8 équipes, les adolescents seront coachés dans leur brève aventure entrepreneuriale par des chefs d’entreprises du territoire ainsi que par des enseignants de l’établissement. Après une première sélection au soir du 4 mai, le verdict sera prononcé le lendemain par un grand jury. Au terme de cette seconde journée, les membres de l’équipe qui sortira finalement du lot repartiront chez eux avec la satisfaction de s’être démarqués de leurs camarades.
« Il n’y a rien à gagner, outre le plaisir d’avoir participé à une initiative hors norme et d’avoir vécu 48h intenses » souligne ce vendredi matin Philippe Château, proviseur du lycée Jules-Ferry, lors du lancement de « start-up lycée ». Car c’est en milieu de matinée qu’ont été constituées les différentes équipes par Pierre Alzingre, en sa qualité de développeur de start-up. Ce dernier d’insister auprès des lycéens que « la réussite, c’est 5% de talent contre 95% de travail. Ne vous découragez donc jamais. Et n’oubliez pas également que chacun à sa place en entreprise. C’est ce qui fait d’ailleurs leur richesse. »
J.J.
Les élèves des classes de Terminales ES et STMG du lycée Jules-Ferry prennent part au projet "start-up lycée", initié par la sous-préfète de l'arrondissement de Saint-Dié-des-Vsges Sylvie Siffermann.
Dans ce cadre, les lycéens se pencheront durant 2 jours, les 4 et 5 avril prochains, sur les besoins de Saint-Dié-des-Vosges dans 10 ans. Ils devront ainsi imaginer comment se loger, se transporter, se nourrir ou se divertir en 2029... en somme, ils devront imaginer comment simplifier la vie des Déodatiens de demain. Le tout à travers le prisme de la start-up, c'est à dire en faisant travailler ensemble autour d'un projet commun des personnes de profils divers.
Répartis par équipes hétérogènes de 8 équipes, les adolescents seront coachés dans leur brève aventure entrepreneuriale par des chefs d'entreprises du territoire ainsi que par des enseignants de l'établissement. Après une première sélection au soir du 4 mai, le verdict sera prononcé le lendemain par un grand jury. Au terme de cette seconde journée, les membres de l'équipe qui sortira finalement du lot repartiront chez eux avec la satisfaction de s'être démarqués de leurs camarades.
"Il n'y a rien à gagner, outre le plaisir d'avoir participé à une initiative hors norme et d'avoir vécu 48h intenses" souligne ce vendredi matin Philippe Château, proviseur du lycée Jules-Ferry, lors du lancement de "start-up lycée". Car c'est en milieu de matinée qu'ont été constituées les différentes équipes par Pierre Alzingre, en sa qualité de développeur de start-up. Ce dernier d'insister auprès des lycéens que "la réussite, c'est 5% de talent contre 95% de travail. Ne vous découragez donc jamais. Et n'oubliez pas également que chacun à sa place en entreprise. C'est ce qui fait d'ailleurs leur richesse."
J.J.
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