Samedi soir dans le cadre de l’Eté en grand à Saint-Dié-des-Vosges, le théâtre d’ombre « Burung » par la compagnie professionnelle « Les Rémouleurs » a rassemblé environ 300 personnes du côté du parc Jean-Mansuy. Et avant la tombée de la nuit, le duo de vélo acrobatique – et là aussi professionnel – « Acrobike » et la fanfare « Déoda’Roots » ont tenu en haleine le public avant le début du spectacle.
« Pourquoi ma petite lampe de poche, la nuit, n’arrive-t-elle pas à éclairer la voûte céleste ? » C’est cette question, cet étonnement enfantin, qui se trouve à l’origine de « Burung ». De là est né ce désir de faire du théâtre d’ombres dans le ciel, avec un grand « oiseau » utilisé comme un écran… se déplaçant au milieu d’images invisibles, virtuelles. Des images qui se matérialisent au fur et à mesure de ses différentes évolutions, lors d’un spectacle s’articulant autour de 4 « chapitres ». Respectivement « apprendre », « partager », « s’opposer » et « créer dans l’autonomie ». Le tout sans oublier les petites scènes de Wayang Kulit, animées par Herry Dim de Bandung, qui sont venues ponctuer ce spectacle poétique par la compagnie originaire d’Aubervillers en Région Parisienne.
J.J.
[caption id="attachment_141674" align="aligncenter" width="960"] (Crédits photographiques Marc Fourniquet)[/caption]
Samedi soir dans le cadre de l'Eté en grand à Saint-Dié-des-Vosges, le théâtre d'ombre "Burung" par la compagnie professionnelle "Les Rémouleurs" a rassemblé environ 300 personnes du côté du parc Jean-Mansuy. Et avant la tombée de la nuit, le duo de vélo acrobatique – et là aussi professionnel – "Acrobike" et la fanfare "Déoda'Roots" ont tenu en haleine le public avant le début du spectacle.
"Pourquoi ma petite lampe de poche, la nuit, n’arrive-t-elle pas à éclairer la voûte céleste ?" C'est cette question, cet étonnement enfantin, qui se trouve à l'origine de "Burung". De là est né ce désir de faire du théâtre d'ombres dans le ciel, avec un grand "oiseau" utilisé comme un écran... se déplaçant au milieu d'images invisibles, virtuelles. Des images qui se matérialisent au fur et à mesure de ses différentes évolutions, lors d'un spectacle s'articulant autour de 4 "chapitres". Respectivement "apprendre", "partager", "s'opposer" et "créer dans l'autonomie". Le tout sans oublier les petites scènes de Wayang Kulit, animées par Herry Dim de Bandung, qui sont venues ponctuer ce spectacle poétique par la compagnie originaire d'Aubervillers en Région Parisienne.
J.J.
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