(Crédit photographique Conseil Départemental des Vosges)
Nathalie Babouhot, vice-présidente du Conseil départemental déléguée aux Collèges et à l’Education a accueilli les principaux et gestionnaires des collèges vosgiens pour une matinée d’information et d’échanges. Différents points ont été abordés dont les perspectives envisageables dès 2020.
Ainsi, dans le cadre de la loi Egalim, il sera obligatoire d’utiliser 50% de produits bio, de qualité et durables dans la restauration collective à horizon 2022. Dans ce cadre, le Département a développé la plateforme Agrilocal, depuis plusieurs années. C’est un outil novateur qui met en lien producteurs, artisans, transformateurs de produits agroalimentaires et acheteurs publics de la restauration collective. Afin de promouvoir davantage cette plateforme, les élus départementaux ont décidé d’augmenter la part du Département des Vosges dans le coût à l’assiette qui sera désormais porté à 1,90 €, voire à 2 euros dans certains cas, et non plus à 1,80 euros. L’objectif est d’encourager le recours aux circuits courts et aux produits issus de l’agriculture biologique. Ces mesures sont évidemment sans conséquence sur le tarif élève qui restera inchangé.
De plus, les dotations de fonctionnement seront en hausse globale de plus de 5 % afin de faire face aux augmentations des tarifs du gaz notamment.
[caption id="attachment_145754" align="aligncenter" width="960"] (Crédit photographique Conseil Départemental des Vosges)[/caption]
Nathalie Babouhot, vice-présidente du Conseil départemental déléguée aux Collèges et à l’Education a accueilli les principaux et gestionnaires des collèges vosgiens pour une matinée d’information et d’échanges. Différents points ont été abordés dont les perspectives envisageables dès 2020.
Ainsi, dans le cadre de la loi Egalim, il sera obligatoire d’utiliser 50% de produits bio, de qualité et durables dans la restauration collective à horizon 2022. Dans ce cadre, le Département a développé la plateforme Agrilocal, depuis plusieurs années. C'est un outil novateur qui met en lien producteurs, artisans, transformateurs de produits agroalimentaires et acheteurs publics de la restauration collective. Afin de promouvoir davantage cette plateforme, les élus départementaux ont décidé d’augmenter la part du Département des Vosges dans le coût à l’assiette qui sera désormais porté à 1,90 €, voire à 2 euros dans certains cas, et non plus à 1,80 euros. L’objectif est d’encourager le recours aux circuits courts et aux produits issus de l’agriculture biologique. Ces mesures sont évidemment sans conséquence sur le tarif élève qui restera inchangé.
De plus, les dotations de fonctionnement seront en hausse globale de plus de 5 % afin de faire face aux augmentations des tarifs du gaz notamment.
Une réaction sur “Vosges – Le Conseil Départemental encourage le recours aux circuits courts dans les cantines des collèges”
ENCOURAGEANT
En effet, le recours aux circuits courts est bénéfique pour bon nombre ! Tant dans le domaine biologique que pour que nos agriculteurs vosgiens qui ont eux aussi besoin d’être épaulés par la population. Les grosses marges des distributeurs alimentaires (Leclerc, Cora, Auchan, Carrefour…) doivent absolument cesser ! Que les assiettes de nos enfants soient remplies « locales » et non de provenances bien plus lointaines. Aidons nos agriculteurs qui travaillent très dur et bien plus longtemps. Ceux-ci n’ont pas la possibilité de travailler les 35 h hebdomadaires que tant d’autres ont le privilège de vivre. J’approuve à 300% l’idée du Conseil Départemental. Que les décisions ne soient pas justes « dites » mais accomplies. Merci
En effet, le recours aux circuits courts est bénéfique pour bon nombre ! Tant dans le domaine biologique que pour que nos agriculteurs vosgiens qui ont eux aussi besoin d’être épaulés par la population. Les grosses marges des distributeurs alimentaires (Leclerc, Cora, Auchan, Carrefour…) doivent absolument cesser ! Que les assiettes de nos enfants soient remplies « locales » et non de provenances bien plus lointaines. Aidons nos agriculteurs qui travaillent très dur et bien plus longtemps. Ceux-ci n’ont pas la possibilité de travailler les 35 h hebdomadaires que tant d’autres ont le privilège de vivre. J’approuve à 300% l’idée du Conseil Départemental. Que les décisions ne soient pas justes « dites » mais accomplies. Merci