Depuis le 14 février dernier, le système informatique de la Région Grand Est est touché par une cyberattaque d’ampleur. Tous les postes de travail des 7500 agents de la Région sont en effet impactés. Ce qui inclut les ordinateurs des lycées.
Comme le précise France Bleu, le virus incriminé prive de leurs messageries les agents comme les élus du Grand Est, mais empêche aussi l’accès aux documents sur les serveurs communs de la Région, l’accès aux logiciels internes de la collectivité… sachant que les badges d’accès se sont également retrouvés hors service durant un temps. Une quarantaine de personnes sont mobilisées pour que tout revienne dans l’ordre ces prochains jours.
« Toutes les mesures ont été prises pour gérer cette attaque, qui peut encore entraîner quelques retards dans les réponses que nous apportons. Un grand merci à tous nos collaborateurs de la @regiongrandest qui oeuvrent au quotidien pour un retour à la normale » a déclaré hier jeudi sur Twitter Jean Rottner, président de la Région Grand Est.
Depuis le 14 février dernier, le système informatique de la Région Grand Est est touché par une cyberattaque d'ampleur. Tous les postes de travail des 7500 agents de la Région sont en effet impactés. Ce qui inclut les ordinateurs des lycées.
Comme le précise France Bleu, le virus incriminé prive de leurs messageries les agents comme les élus du Grand Est, mais empêche aussi l'accès aux documents sur les serveurs communs de la Région, l'accès aux logiciels internes de la collectivité... sachant que les badges d'accès se sont également retrouvés hors service durant un temps. Une quarantaine de personnes sont mobilisées pour que tout revienne dans l'ordre ces prochains jours.
"Toutes les mesures ont été prises pour gérer cette attaque, qui peut encore entraîner quelques retards dans les réponses que nous apportons. Un grand merci à tous nos collaborateurs de la @regiongrandest qui oeuvrent au quotidien pour un retour à la normale" a déclaré hier jeudi sur Twitter Jean Rottner, président de la Région Grand Est.
J.J.