C’est ce vendredi qu’a été inaugurée la 30e édition des « Fermes Ouvertes » dans les Vosges, en présence de Christiane Lambert, présidente de la Fédération Nationale des Syndicats d’Exploitants Agricoles – FNSEA.
A l’occasion de cette édition 2022, 6 fermes vosgiennes ouvrent leurs portes aux visiteurs ce samedi jusqu’à 18h, avec diverses animations pédagogiques, des échanges, des dégustations de produits du terroir, du contact avec les animaux, des expositions d’engins agricoles, la présence de producteurs locaux, des buvettes et de la restauration locale. En préambule, plus de 1100 élèves de différentes écoles primaires et élémentaires du département ont rendu visite hier aux 6 fermes ouvertes : le GAEC du Haut des Hayes (Basse-sur-le-Rupt), le GAEC des Jumeaux (Nompatelize), le GAEC des Lilas (Harmonville), la SCEA Sautré (Haréville), chez Vincent Maillard (Domèvre/Durbion) et Laurent Chevrier (Florémont).
J.J.
[caption id="attachment_183326" align="aligncenter" width="960"] (Photographies FDSEA des Vosges)[/caption]
C'est ce vendredi qu'a été inaugurée la 30e édition des « Fermes Ouvertes » dans les Vosges, en présence de Christiane Lambert, présidente de la Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles – FNSEA.
A l'occasion de cette édition 2022, 6 fermes vosgiennes ouvrent leurs portes aux visiteurs ce samedi jusqu'à 18h, avec diverses animations pédagogiques, des échanges, des dégustations de produits du terroir, du contact avec les animaux, des expositions d'engins agricoles, la présence de producteurs locaux, des buvettes et de la restauration locale. En préambule, plus de 1100 élèves de différentes écoles primaires et élémentaires du département ont rendu visite hier aux 6 fermes ouvertes : le GAEC du Haut des Hayes (Basse-sur-le-Rupt), le GAEC des Jumeaux (Nompatelize), le GAEC des Lilas (Harmonville), la SCEA Sautré (Haréville), chez Vincent Maillard (Domèvre/Durbion) et Laurent Chevrier (Florémont).
J.J.
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Une réaction sur “Vosges – Plus de 1100 élèves du département se sont rendus à la ferme”
Jean-Paul Petit
Moins il y a de paysans, moins il y a de vaches dans nos prés, et plus il y a d’enfants qui veulent voir des fermes.
Dernier sursaut de civilisation avant de sombrer définitivement?
Autrefois, les instituteurs s’honoraient à enseigner les enfants des paysans.
Aujourd’hui, les instituteurs sont plus nombreux que les paysans, et ce sont ces derniers qui ont à apprendre aux instits.
Le bonheur est dans le pré, vraiment?
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Moins il y a de paysans, moins il y a de vaches dans nos prés, et plus il y a d’enfants qui veulent voir des fermes.
Dernier sursaut de civilisation avant de sombrer définitivement?
Autrefois, les instituteurs s’honoraient à enseigner les enfants des paysans.
Aujourd’hui, les instituteurs sont plus nombreux que les paysans, et ce sont ces derniers qui ont à apprendre aux instits.
Le bonheur est dans le pré, vraiment?