L’Armistice du 11 novembre 1918 est signé à 5h15 en forêt de Compiègne, dans un wagon-restaurant aménagé. Il faudra attendre 11h pour que le cessez-le-feu soit effectif. Cet armistice reconnaît de facto la victoire des Alliés et la défaite de l’Allemagne, et annonce la fin de 4 années de guerre effroyable ayant fait plus de 18,6 millions de morts, d’invalides et de mutilés, dont 8 millions de civils.
La Victoire du 11 novembre 1918 est commémorée chaque année à travers la France. A Saint-Dié-des-Vosges, la cérémonie commémorative s’est déroulée en 2 temps. Tout d’abord au cimetière militaire des Tiges sur les coups de 10h30, puis au monument aux morts de la ville à partir de 11h, où pas moins de 150 jeunes déodatiens ont entonné la Marseillaise en choeur. Le maire Bruno Toussaint tenant à ce que les enfants participent aux cérémonies, du 11 novembre et aussi du 14 juillet, « pour transmettre l’histoire, pour que ces cérémonies ne soient pas qu’un simple dépôt de gerbes. » Ravivage de la flamme, dépôts de fleurs, hommage à tous les morts pour la France, lectures de textes et salut aux portes-drapeaux ont ponctué la cérémonie ce vendredi matin. Parmi les victimes de la Grande Guerre, 494 étaient originaires de la cité déodatienne.
J.J.
[caption id="attachment_192537" align="aligncenter" width="960"] (Photographies Marc Fourniquet)[/caption]
L'Armistice du 11 novembre 1918 est signé à 5h15 en forêt de Compiègne, dans un wagon-restaurant aménagé. Il faudra attendre 11h pour que le cessez-le-feu soit effectif. Cet armistice reconnaît de facto la victoire des Alliés et la défaite de l'Allemagne, et annonce la fin de 4 années de guerre effroyable ayant fait plus de 18,6 millions de morts, d'invalides et de mutilés, dont 8 millions de civils.
La Victoire du 11 novembre 1918 est commémorée chaque année à travers la France. A Saint-Dié-des-Vosges, la cérémonie commémorative s'est déroulée en 2 temps. Tout d'abord au cimetière militaire des Tiges sur les coups de 10h30, puis au monument aux morts de la ville à partir de 11h, où pas moins de 150 jeunes déodatiens ont entonné la Marseillaise en choeur. Le maire Bruno Toussaint tenant à ce que les enfants participent aux cérémonies, du 11 novembre et aussi du 14 juillet, "pour transmettre l'histoire, pour que ces cérémonies ne soient pas qu'un simple dépôt de gerbes." Ravivage de la flamme, dépôts de fleurs, hommage à tous les morts pour la France, lectures de textes et salut aux portes-drapeaux ont ponctué la cérémonie ce vendredi matin. Parmi les victimes de la Grande Guerre, 494 étaient originaires de la cité déodatienne.
J.J.
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