Ce vendredi en fin de matinée, la vingtaine d’élèves de Terminale de la spécialité Humanités de la Cité Scolaire Jules-Ferry a restitué en public, dans l’amphithéâtre et à 2 reprises, la représentation d’expression corporelle conçue ces derniers mois avec Etienne Fanteguzzi, danseur et chorégraphe originaire de Strasbourg.
D’une durée d’environ 15 minute, cette représentation baptisée « Points de vue, points de fuite » a été travaillée depuis le mois de janvier, autour du thème « l’expression de la sensibilité » et du mouvement. « Témoin d’une scène, nous avons chacun notre point de vue et notre ressenti. Ce que nous décrivons comme étant la réalité raconte autant sur nous-même que sur ce que nous regardons. Ainsi, d’une « unique » réalité plusieurs histoires dialoguent » explique Etienne Fanteguzzi.
« L’idée était que les élèves expriment leurs ressentis et leurs émotions, qu’ils affrontent leur corps et leur être » souligne quant à elle Céline Durain, enseignante en Philosophie et l’une des coordinatrices du projet avec Odile Cassard, en sa qualité de référente culturelle de l’établissement. L’idée à travers cet exercice était aussi de se préparer au désormais imminent Grand Oral, qui aura lieu mi-juin, en gagnant en aisance et confiance en soi.
J.J.
Ce vendredi en fin de matinée, la vingtaine d'élèves de Terminale de la spécialité Humanités de la Cité Scolaire Jules-Ferry a restitué en public, dans l'amphithéâtre et à 2 reprises, la représentation d'expression corporelle conçue ces derniers mois avec Etienne Fanteguzzi, danseur et chorégraphe originaire de Strasbourg.
D'une durée d'environ 15 minute, cette représentation baptisée « Points de vue, points de fuite » a été travaillée depuis le mois de janvier, autour du thème « l'expression de la sensibilité » et du mouvement. « Témoin d'une scène, nous avons chacun notre point de vue et notre ressenti. Ce que nous décrivons comme étant la réalité raconte autant sur nous-même que sur ce que nous regardons. Ainsi, d'une « unique » réalité plusieurs histoires dialoguent » explique Etienne Fanteguzzi.
« L'idée était que les élèves expriment leurs ressentis et leurs émotions, qu'ils affrontent leur corps et leur être » souligne quant à elle Céline Durain, enseignante en Philosophie et l'une des coordinatrices du projet avec Odile Cassard, en sa qualité de référente culturelle de l'établissement. L'idée à travers cet exercice était aussi de se préparer au désormais imminent Grand Oral, qui aura lieu mi-juin, en gagnant en aisance et confiance en soi.
J.J.
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